Madame Labriski, qu’est-ce que vous mangez lorsque vous allez courir tôt le matin? Qu’est-ce que vous consommez pour vous préparer à courir un marathon? Dans les dernières années, ces questions ont inondé ma boîte de courriel. Dans cet article, on va se concentrer sur la dernière question.
Au moment d’écrire ces lignes, mon dernier vrai de vrai marathon remonte à celui de Chicago 2019, soit l’automne avant la pandémie. Ça peut sembler loin, mais ma vie hyper chargée a fait en sorte que je m’entraîne toujours, semaine après semaine, je me suis enlevé la pression de la performance sur un marathon (même si j’adore ça), c’est une question d’équilibre : travail-famille-entraînement-défis-projets-ce-qui-est-le plus-important-à-court-terme. Dans la vie, je suis assez motivée pour m’entraîner même quand je ne prépare pas d’événement précis : en fait, je suis née avec une motivation intrinsèque dans tout ce que je fais. Ce que je peux AIMER préparer un marathon! J’adore le processus de préparation autant que l’événement. À chaque fois, j’évolue en tant qu’être humain, c’est fantastique.
Mais pour des raisons d’équilibre, je n’ai pas fait de vrai marathon depuis 2019.
Mais bref.
Je suis partie pour Chicago avec une double fournée de galettes Cours Forest (page 181 dans le livre Collations Énergisantes) et de galettes à M’lasse cousine de la Mognon d’ourson (oui, la Cours Forest existait, mais je ne l’avais pas publiée).