Premières en affaires

Être dans le palmarès du magazine Premières en affaires ça ne change pas le monde sauf que…. je l’avais souhaité. En fait, j’ai l’honneur de me retrouver dans la liste des Étoiles montantes, c’est-à-dire des entreprises dont le chiffre d’affaires est inférieur à 5 millions de dollars.

La catégorie « Étoiles montantes » c’est une façon de mettre de la lumière sur des entreprises qui ne se qualifient pas pour le « vrai » palmarès (5 millions de chiffre – d’affaires et plus par année), mais qui continuent de grandir, et qui sont promises à une certaine pérennité. Wow! C’est beau hein? Ce sont les mots tirés du magazine.

De ces 55 étoiles montantes, 3 ont une vitrine et j’ai l’honneur d’être de ces femmes. C’est toute une surprise et un honneur pour moi. Oui, je fais la guerre au sucre raffiné en sucrant tout à la purée de dattes et je suis animée d’une énergie particulière et sans fin. Mais je suis aussi très fière de porter un message inspirant.

Si je suis arrivée à me retrouver dans ce palmarès à partir d’une vision, vous pouvez le faire aussi.

C’est maintenant un peu cliché de le dire, mais c’est vrai que tout est possible dans la vie… à condition de travailler fort et de se donner les moyens de réussir. Est-ce que c’est toujours facile? La réponse est non. Est-ce que tout se fait par magie? La réponse est toujours non. Voici l’extrait publié dans le magazine qui est, en fait, la réponse donnée à l’une de leurs questions lorsqu’on m’a approchée pour me présenter parmi les Étoiles montantes.

« En devenant entrepreneure, j’ai fait le choix conscient de ne pas rêver ma vie, mais de faire de ma vie un grand rêve. Je souhaite que les femmes osent plonger à vive allure dans leurs rêves les plus fous. L’entrepreneuriat, ce n’est pas un choix toujours facile, mais il est des plus gratifiants. Je souhaite que les jeunes filles, les femmes d’affaires de demain, s’inspirent des modèles d’aujourd’hui. Je souhaite que la société exige que les multinationales offrent des contrats autant aux femmes qu’aux hommes d’affaires -. J’espère que mon entreprise donnera le goût à d’autres femmes et jeunes filles d’oser rêver grand et, surtout, d’aller au bout de leur vision. Vive les femmes en affaires, vive l’audace et vive l’épanouissement. »

Lorsque je regarde mon cheminement, je sais qu’il y a encore du travail à faire. Pour les prochaines éditions du magazine, j’aspire à changer d’échelon, mais pas à n’importe quel prix. Je connais mes forces et mes faiblesses. Même si je ne viens pas d’un milieu d’entrepreneurs, je me suis retrouvée à remporter plusieurs prix et distinctions chez Madame Labriski. Ces statuettes m’ont permis d’augmenter ma confiance en moi et m’ont confirmé que j’étais à la bonne place.

Des fois (tout le temps!), les gens pensent qu’il y a plusieurs personnes au « siège social » de Madame Labriski, mais la réponse est non. Il y a une femme-orchestre, athlète de la vie, qui a une rage d’avancer et qui possède quelques talents indispensables à la pige, un agent qui gère l’agenda pour les conférences et ateliers culinaires et des partenaires de choix : grandes chaînes alimentaires, usines, transporteurs et maison d’édition.

Lorsqu’on pense qu’il y a 10 ou 15 personnes qui travaillent dans l’entreprise, ça me fait rire. L’être humain possède une énergie et des talents pour soulever des montagnes. Encore faut-il avoir le goût de les soulever…

Je l’ai déjà dit dans l’un des articles de ce Webzine, mais je le répète, c’est ma meilleure amie la course à pied et mes préparations pour les marathons qui m’ont montré le chemin de l’entrepreneuriat.

Mon cœur et ma petite voix, ce duo fidèle qui chuchote à mon intuition, me disent que Madame Labriski doit prendre sa place. Il y a encore une place plus grande à prendre pour contribuer à améliorer la santé des gens. Et c’est sur cet aspect que je travaille en secret…

À suivre…

Vous êtes entrepreneure et vous aimeriez-faire partie de ce palmarès, l’an prochain ou dans les prochaines années, cliquez Ici. (Parce que tout commence par une vision.)