Le message était si fort.
Si vrai.
Si… tellement ça.
Si tous les humains allaient chercher cette grande force et ce pouvoir en eux, le niveau de bonheur et d’épanouissement serait plus élevé.
Je parle du grand message de l’article dans LE DEVOIR (samedi 18 novembre) sur la lettre de la médecin soignante de notre guerrier disparu… devenu étoile filante. L’avez-vous lu?
Elle parle de la douleur qui l’envahissait et à quel point il était un humain d’exception… mais surtout, elle fait mention que la scène le soignait plus que n’importe quel traitement.
Alors qu’elle avait le devoir de lui dire que la scène et la maladie ne faisaient pas bon ménage. Notre héros voulait continuer. Il est allé au bout et le fait de faire ce qu’il aimait l’énergisait et le soignait.
Ce passage est si fort que je vais l’écrire de nouveau :