Et là, c’est moins drôle.
Trop de caféine = trop d’effets secondaires
Voici ce que l’on peut ressentir quand on en consomme trop, même sans s’en rendre compte :
- Troubles du sommeil
- Nervosité ou anxiété persistante
- Palpitations, tachycardie
- Problèmes digestifs
- Sensation d’épuisement malgré les “shots” de café
- Irritabilité
- Dépendance physique subtile mais bien réelle
Et à long terme?
Une consommation excessive de caféine est liée à :
- L’hypertension artérielle
- Une baisse de densité osseuse (oui, oui!)
- Une fatigue chronique masquée
Selon la Clinique Mayo¹, une consommation supérieure à 400 mg de caféine par jour peut entraîner des effets secondaires chez la plupart des adultes.
Pourquoi c’est si difficile de ralentir?
Parce que la caféine est sournoise. Elle agit vite, mais son effet ne dure pas longtemps. Et plus on en prend, plus le corps en redemande… pour compenser le crash du précédent. C’est comme un tour de montagnes russes énergétiques, qu’on prend par automatisme. (Mais oui, un peu (pas mal) comme le sucre raffiné : sucre blanc, cassonade, sucre de canne et… même notre bon sirop d’érable et le miel de nos abeilles indispensables.
Mais… et si on descendait du manège?
Diminuer la caféine, ce n’est pas dire adieu au café
On pense souvent que réduire la caféine = abandonner le café. Mais ce n’est pas vrai.
La solution? Un café santé, pensé pour offrir :
- Une énergie douce et stable
- 75 % moins de caféine
- Un goût riche, réconfortant, complet
- Une méthode de décaféination naturelle (comme à la canne à sucre)
Et oui, ce genre de café existe. Chez moi, il s’appelle Mélange Vitaliski, en collaboration avec la Brûlerie FARO. Mais peu importe le nom, ce qui compte… c’est l’intention.

Écouter son corps, c’est se faire du bien
Et si, au lieu de forcer, on s’offrait un café qui s’aligne avec notre rythme?
Et si on choisissait une boisson qui nourrit autant l’énergie… que la paix intérieure?