Pommes du Québec, je vous aime.

Je suis une mangeuse de pommes. Surtout les pommes du Québec. J’en mange une à deux par jour, tous les jours. Je ne sais pas si c’est parce que je suis de la génération de Gronigo, mais sa célèbre chanson Je croque une pomme a marqué mon imaginaire. Tout comme le célèbre proverbe « une pomme par jour éloigne le médecin ».

J’aime ce fruit parce qu’il est simple à manger : on le lave et le croque. Je crois que la pomme fait aussi partie de mes souvenirs d’enfance parce que j’aimais tant aller aux pommes avec mes parents et ma sœur aînée. D’ailleurs, j’avais très hâte d’amener mes enfants faire cette activité d’automne… qu’on fait chaque année.

Chez Madame Labriski, comme j’aime que tout soit simple, je la cuisine toujours sans enlever la pelure. D’ailleurs, c’est tellement long d’enlever la pelure avec un couteau. Ne trouvez-vous pas? Pourquoi l’enlever? Depuis que j’ai appris cette information, il n’y a plus de raison de l’enlever.

Les nutriments de la pomme se concentrent surtout dans sa pelure.

J’aime les morceaux de pelure de pommes dans une croustade, ça ajoute un peu de texture. En fait, on ne s’en rend pas compte (même pas mon petit dernier un peu capricieux) et on sauve un temps fou.

Je trouve que mordre dans une pomme, c’est mordre dans la vie. J’aime le bruit que ça fait lorsqu’elle est juteuse. J’aime son acidité et son parfum enivrant à l’automne. Quand j’étais enfant, l’un de mes plaisirs était de manger des pommes vertes : les Granny Smith. Depuis que j’ai compris que cette mythique pomme verte ne pousse pas ici, je me suis tournée vers la pomme Empire qui est de loin ma préférée parce qu’elle est toujours croquante à souhait.

Pourquoi j’aime les pommes :

  • Elles sont constituées de 86 % d’eau. Elles sont donc désaltérantes.
  • Elles sont une source de fibres et renferment de la pectine, une fibre soluble qui favorise la satiété.
  • Les pommes rouges regorgent d’antioxydants, notamment de quercétine, un composé qui permettrait de diminuer les risques de maladies du cœur, de cancer, de diabète de type 2 et d’asthme.

Et ce que j’aime le plus, c’est de les cuisiner. Des pommes cuites, c’est tellement bon et réconfortant. On me demande souvent quelles pommes utiliser en cuisine. Voici mon aide-mémoire personnel :

  • Pour faire des compotes (donc des pommes qui ne restent pas en morceaux) : McIntosh et Paula Red.
  • Pour des croustades et des tartes (des pommes qui conservent leur forme) : Spartan et Cortland (et je prends aussi Empire).

À noter que ces informations se retrouvent aussi à la page 30 de mon livre Collations énergisantes. 

Une chose est certaine, je vais toujours continuer à manger des pommes. Et vous? J’espère que ce petit guide sans prétention vous sera utile… quand viendra le temps de les cuisiner. Pour tout savoir sur les pommes du Québec, je vous invite à visiter cette merveille de destination : Ici. 

Votre amie… Mériane la Madame Labriski
xxx

 

Vous pourriez aussi aimer

On reste en contact?

Infolettreski!
Pour tout savoir sur les aventures inspirantes et les nouveautés gourmandes de la Madame.