J’habite en ville, mais la nature me fait du bien. Je suis une sportive. Je cours, je patine, je fais du ski de fond (classique et skate) et du ski alpin en famille. Je trouve qu’il y a quelque chose de beau et de grand au fait d’aller à la montagne. Les égos restent en bas des pentes et on part… à l’aventure. On oublie notre âge et on s’amuse tous ensemble. On a décidé de mettre le ski alpin à notre agenda pour passer du bon temps en famille tout l’hiver, dehors, avec les enfants. Et vous savez quoi? On adore ça. Même que… on attend l’hiver avec impatience.
Ce que je trouve encore plus beau c’est que les grands-parents aussi sont de la partie. Ah, le plaisir que mes enfants ont de skier avec grand-maman et grand-papa. Et nous, à mon chum et moi, ça nous permet d’avoir un moment pour skier en couple pendant quelques descentes. Tout le monde est content.
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Ce que j’aime de la montagne, c’est qu’au sommet, on se sent petit et que pendant les descentes, un sentiment de liberté incroyable nous anime. Il n’y a pas d’âge pour commencer à skier. En fait, j’en oublie même mon âge tellement je m’amuse. J’espère, un jour, y amener mes petits-enfants (bon, je n’ai que 45 ans, mais je me vois déjà donner du temps à mes enfants en m’occupant… de leurs enfants sur les pistes de ski.) Je trouve que c’est extraordinaire d’aller à la montagne. Ça fait tellement de bien de se retrouver dans la nature en famille. Malgré ce que certains pensent, le ski alpin est un sport accessible et très familial et il n’a pas d’âge pour commencer. Rapido-presto, en voici la preuve :
1. Il y a 75 stations de ski au Québec et – toujours un chalet avec services pour se réchauffer. Yé!
2. Comme sur la route, il y a un code de conduite à respecter sur les pistes.
3. Enfants, adultes ou grands-parents, on commence tous à apprendre dans la zone d’apprentissage. C’est tellement beau à voir. Tout le monde sourit, rit et s’amuse. Je peux passer plusieurs minutes à observer le bonheur des gens dans la zone d’apprentissage.
4. Le défi, c’est d’apprendre à faire des virages. Mais ça s’apprend. Ce n’est pas sorcier.
5. Une fois la technique de notre sport de glisse maîtrisée (ski, planche à neige ou autre), on sélectionne les pistes en fonction du code de couleurs et des niveaux de difficulté. On y va une étape à la fois selon notre niveau.
6. Après une journée de ski, tout le monde est fier et le breuvage chaud (avec une collation énergisante sucrée à la purée de dattes) est tellement bon.
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Chez moi, on a un rituel. Après le ski, on se fait souvent un long souper fondue avec les grands-parents ou une soirée cinéma-pyjama-pop-corn avec les enfants. Tout le monde est un peu fatigué d’avoir passé la journée dehors, on se colle et on a déjà hâte à la prochaine fois. Les journées de ski alpin deviennent donc de véritables journées de vacances.